Barbara
Accords et partitions
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Laigle NoirE A F# F D C
Un beau jour, ou peut-être une nuit Près d'un lac, je m'étais endormie Quand soudain semblant crever le ciel Et venant de nulle part Surgit un aigle noir
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Dis, quand reviendras-tu ?G Am D7 Em G#(dim)
Voilà combien de jours, voilà combien de nuits, Voilà combien de temps que tu es reparti. Tu m'as dit : "Cette fois, c'est le dernier voyage, Pour nos coeurs déchirés, c'est le dernier naufrage. Au printemps, tu verras, je serai de retour;
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NantesFm Bm7 Gbm E7 Amaj7 Db7
Il pleut sur Nantes Donne-moi la main Le ciel de Nantes Rend mon coeur chagrin.
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Du bout des lèvresF A7/E Dm Db C7 F/C
Oh, dites-le-moi doucement! Murmurez-le-moi simplement! Je vous écouterais bien mieux Sans dou- -te
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GöttingenDm Am G7 C E7 B7Pas de barré
Bien sûr ce n'est pas la Seine Ce n'est pas le Bois de Vincennes Mais c'est bien joli tout de même À Göttingen, à Göttingen
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La solitudeA Ab E7 Bbm Eb7 Bm
Je l'ai trouvée devant ma porte, Un soir, que je rentrais chez moi. Partout, elle me fait escorte. Elle est revenue, la voilà, La renifleuse des amours mortes.
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Ma plus belle histoire d'amourAb Eb7 G Fm D7 Bbm
Du plus loin, que me revienne L'ombre de mes amours anciennes Du plus loin, du premier rendez-vous Du temps des premières peines Lors, j'avais quinze ans, à peine
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Ce Matin-làDm Am G C E Bm
J'étais partie ce matin, au bois, Pour toi, mon amour, pour toi, Cueillir les premières frai-ses des bois, Pour toi, mon amour, pour toi.
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Septembre (quel joli temps)Ab Ab/G Ab/F Eb7 A Bbm
Jamais la fin d'été n'avait paru si belle Les vignes de l'année auront de beaux raisins On voit se rassembler déjà les hirondelles Mais il faut se quitter. Pourtant, l'on s'aimait bien !
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Mon enfanceF A7/E Dm A7/C# C7 C
J'ai eu tort ; je suis revenue Dans cette ville, au loin perdue, Où j'avais passé mon enfance. J'ai eu tort ; j'ai voulu revoir Le coteau où glissaient le soir
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Attendez que ma joie revienneG D7 G7 A7 D Bb
Attendez que ma joie revienne Et que se meure le souvenir De cet amour, de tant de peine Qui n'en finit pas de mourir. Avant de me dire:" Je t'aime",
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Le Soleil NoirEm F#m Bm Am D G
[Verse] Pour ne plus, jamais plus, vous parler de la pluie, Plus jamais du ciel lourd, jamais des matins gris, Je suis sortie des brumes et je me suis enfuie, Sous des ciels plus légers, pays de paradis,
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À mourir pour mourirGm D F Bb C A
A mourir pour mourir, Je choisis l'âge tendre, Et partir pour partir, Je ne veux pas attendre, Je ne veux pas attendre J'aime mieux m'en aller, du temps que je suis belle Qu'on ne me voit jamais, Fanée sous ma dentelle, Fanée sous ma dentelle
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Le mal de vivreF#m Ab Bm7 E7 Bbm7 Fm7
Ca ne prévient pas; ça arrive Ca vient de loin Ca s'est traîné de rive en rive La gueule en coin Et puis un matin, au réveil
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DrouotFm Bbm F#m Bm Eb G#
Dans les paniers d'osier de la salle des ventes Une gloire déchue des folles années trente Avait mis aux enchères, parmi quelques brocantes Un vieux bijou donné par quel amour d'antan
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Une petite cantateC Db G7 Ab7 Ebm7 Bbm
Une petite cantate du bout des doigts Obsédante et maladroite monte vers toi Une petite cantate que nous jouions autrefois Seul, je la joue maladroite Si mi la ré sol do fa
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Les voyagesAm/C C Cmaj7 Bm(b5) Dm G
Ah ! Les voyages Aux rivages lointains, Aux rêves incertains, Que c'est beau, les voyages Qui effacent au loin
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Chapeau basEb7 Ab E7 Am Fm C
Est-ce la main de Dieu, Est-ce la main de Diable Qui a tissé le ciel De ce beau matin-là, Lui plantant dans le coeur
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Si la photo est bonneA E F#m Bm G# C#
Si la photo est bonne, Jusqu'en deuxième colonne, Y'a le voyou du jour Qui a une p'tite gueule d'amour Dans la rubrique du vice,
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Parce que (je t'aime)Fm Bbm C7 Cm Gm Eb7
C'est parce que ton épaule à mon épaule, Ta bouche à mes cheveux, Et ta main sur mon cou, C'est parce que, dans mes reins, Quand ton souffle me frôle,
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Le temps du lilasAm Dm E7 A F#m7 C
Il a foutu le camp, le temps du lilas, Le temps de la rose offerte, Le temps des serments d'amour, Le temps des toujours, toujours.
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Les insomniesBb F Cm G7 F#m Am
A voir tant de gens qui dorment et s'endorment à la nuit, Je finirai, c'est fatal, par pouvoir m'endormir aussi. A voir tant deux yeux qui se ferment, couchés dans leur lit, Je finirai par comprendre qu'il faut que je m'endorme aussi.
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À peineF7(dim) G/B Dm A/C# Ebm Bb/D
A peine sorti du sommeil, A peine, à peine, tu t'éveilles Que, déjà, tu cherches ma main Que, déjà, tu frôles mes reins.
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Sans BagagesEb Am Fm Bbm B Ab
Le jour où tu viendras, Le jour où tu viendras, Le jour où tu viendras, ne prends pas tes bagages, Que m'importe, après tout, ce qu'il y aurait dedans, Je te reconnaîtrai à lire ton visage,
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À chaque foisE7 Am G7 C Eb7 Ab
Chaque fois qu'on parle d'amour, C'est avec "jamais" et "toujours", Viens, viens, je te fais le serment Qu'avant toi, y avait pas d'avant, Y avait pas d'ombre et pas de soleil.
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C'est trop tardFm7/Eb Fm Bbm7 Dm7(b5) Eb7 Abmaj7
C'est trop tard pour verser des larmes Maintenant qu'ils ne sont plus là C'est trop tard, retenez vos larmes Trop tard, ils ne les verront pas Car c'est du temps de leur vivant
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Les boutons dorésGm Gm9 Gm7 Gm6 Cm7 F7
On suit le mur de l'hôpital On passe le pont sur la rivière On tourne au coin du cimetière Pour suivre un peu le vieux canal Puis vers cinq heures on rentrera
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Joyeux NoëlAm E7/B C G7 Dm7 E7
C'était vingt-deux heures à peine, ce vendredi-là C'était veille de Noël, et pour fêter ça Il s'en allait chez Mad'leine près du Pont d'l'Alma Elle aurait eu tant de peine qu'il ne vienne pas Fêter No - ël, fêter No -ël
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PerlimpinpinGm D D4 F#m Eb C#4
Pour qui, comment quand et pourquoi ? Contre qui ? Comment ? Contre quoi ? C'en est assez de vos violences. D'où venez-vous ? Où allez-vous ?
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MarienbadF# Am D# B Bm G#7
Sur le grand bassin du château de l'idole Un grand cygne noir portant rubis au col Dessinait sur l'eau de folle arabesques Les gargouilles pleuraient de leur rires grotesques Un Apollon solaire de porphyre et d'ébène
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Au bois de Saint-AmandEb E B7 D Db Bb7
A cappella : Y a un arbre, je m'y colle, Dans le petit bois de Saint-Amand, Je t'attrape, tu t'y colles, Je me cache, à toi maintenant,
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MadameAb Eb7 Fm A Bbm9 E7
Je reçois, à l'instant où je rentre chez moi, Votre missive bleue, Madame. Vingt fois, je la relis, et mes yeux n'y croient pas. Pourtant, c'est écrit là, Madame Et de votre douleur, je me sens pénétrée
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Au Coeur De La NuitG D7 E7 A Bb Eb7
J'ai le souvenir d'une nuit Une nuit de mon enfance Toute pareille à celle-ci Une longue nuit de silence
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Les mignonsAm Dm G C E A
Avec des yeux plus grands qu'le ventre, Avec des mots plus grands qu'le coeur, Ils entrent dans notre existence Côté tendresse, côté coeur. Ils nous racontent leur enfance
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VienneF7 Bb Ab Ebm/Gb A F
Si je t'écris, ce soir, de Vienne / J'aimerais bien que tu comprenn's, Que j'ai choisi l'absence / Comme dernière chance, Notre ciel devenait si lourd, Si je t'écris, ce soir, de Vienne, Oh, que c'est beau l'automne à Vienne,
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Vivant poèmeG# C#m D#(dim) Cm G D(dim)
Va ce monde je te le donne Va jamais n'abandonne C'est vrai qu'il n'est pas à l'image Des rêves d'un enfant de ton âge Je sais, le monde a des accents
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ToiA F#m E Bm7 F Dm
Tu me fais des nuits et des jours Et des jours et des nuits d'amour. Toi, je le sais, tu pourrais même M'ensoleiller sous la pluie même. Avant toi, d'autres sont venus
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Moi je me balanceG#maj7 G#6 G# D#7 G Gmaj7
Moi, je m'balance Je m'offre à tous les vents Sans réticences Moi, je m'balance, Je m'offre à qui je prends
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PierreFm Bbm7 Eb7 C7 D7(dim) G7
Sur les jardins alanguis, Sur les roses de la nuit, Il pleut des larmes de pluie, Il pleut, Et j'entends le clapotis,
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L'homme en habit rougeA7 D Eb Db Bb7 Ab7
Il venait, je ne sais, D'ici, là-bas, de n'importe où, de nulle part, Et d'ailleurs, on s'en fout, Nous, on l'avait appelé l'homme en habit rouge,
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L'Île aux mimosasFm Bbm Eb Ab G#m C#m
Toi que j'ai souvent cherché, A travers d'autres regards, Et si l'on s'était trouvés, Et qu'il ne soit pas trop tard, Pour le temps qu'il me reste à vivre,
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J'ai tué l'amourBb7 Fm Eb Cm Db Db/F
J'ai l'air comme ça d'une moins que rien Qu'a pris la vie du bon côté, D'une fille perdue qui va son ch'min Sans trop chercher à s'y r'trouver. Quand un garçon me fait la cour,
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L'amoureuseEm C F#m Bm G7 Am
Celle qui tendait les bras, Celle qui aimait si fort, Mais qui ne le savait pas, Qu'aimer encore et encore, Ça vous brûle, ça vous damne,
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À force deC F G7 Em Dm7 C/E
A force de m'être cherchée C'est toi que j'ai perdu A force de m'être cherchée C'est toi que j'ai perdu C'est toi
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Toi l'hommeF# Dmaj7 A D E Eb
Je cherche un homme, Un homme qui ressemble à un homme, Un homme, en somme, C'est beau et puis c'est chaud les hommes, Et plus c'est rare et plus c'est beau,
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Il automneC Cm7 F7 G7 Dm Gm7
Il automne, à pas furtifs, Il automne à pas feutrés, Il automne à pas craquants Sous un ciel pourpre et doré. Sur les jardins dénudés
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La JocondeGm D7 Cm Bb
C'est moi que j'suis la Joconde. Je suis connue par le mon-onde. Au Louvre où la foule abonde Pour me voir, on fait la ronde Et moi, faut que j'me morfon-onde,
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Le MinotaureFm Am Bbm7 Eb7 Ab Dm
Dans le grand labyrinthe où je cherchais ma vie, Volant de feu en flamme comme un grand oiseau ivre, Parmi les dieux déchus et les pauvres amis, J'ai cherché le vertige en apprenant à vivre.
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RemusatA Bm7 E7 F#m Bbm7 Ab
Vous ne m'avez pas quittée Le jour où vous êtes partie. Vous êtes à mes côtés Depuis que vous êtes partie Et pas un jour ne se passe,
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Là-basAm E7 F D#(dim) E D
Là bas rien n'est comme ici Là bas tout est différent Pourtant les chats aussi sont gris Et les lilas blancs sont blancs Mais l'amour aussi et l'amour
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Tais Toi MarseilleG D(aug)/F# Gm7 D7 Gm Am(maj7)
Un soir, les voyous de Marseille M'ont fait goûter à leurs bouteilles Au fond d'un bistrot mal famé Où j'attendais de m'embarquer Ils m'ont raconté leurs voyages
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La musiqueAb A E Eb F7 Dbm
Te souviens-tu de cette nuit, De cette belle nuit d'automne ? Je t'avais fait, je m'en souviens, Une chanson de trois fois rien. Si les mots se sont envolés
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La mortCm G Eb G7 D D/F#
Qui est cette femme qui marche dans les rues, Où va-t-elle, Dans la nuit brouillard où souffle un hiver glacé, Que fait-elle'
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L'enfant laboureurAm Bbm G D Em C
Qu'on ne touche jamais aux folies, aux orages Qui, chez moi, naissent et meurent entre passion et rage Et que mes grands délires me fassent toujours escorte. La raison est venue, j'ai demandé qu'elle sorte. Qu'on ne décide pas de mes joies, de mes larmes.
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ÉglantineA Am F7 F#m7 E7 Bm
Dans la grande maison d'Églantine, Les volets se sont fermés. Dans le matin léger, Églantine, Pour toujours, s'en est allée Pour toujours, s'en est allée
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Vol de nuitAbm E C#m7 F Am Bb7(dim)
Aéroport Du bout du monde. Fin de tournée. Avion retard. Long, ce départ.
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La LouveGm F A A7 Dm Db
Aux matins frêles des lacs de neige, Aux matins froids aux reflets grèges, Aux soleils, frissons de l'hiver, Je suis la louve solitaire.