annuler
Change la taille du texte.
Remplace par des accords plus faciles à jouer.
Affiche les acccords français (Do, Ré, Mi…).
Seul le bas du texte défile, vous laissant ainsi les accords de départ visibles.
Certaines partitions n’affichent les accords qu’au début. Cet outil tente de les recopier dans l’ensemble du texte.
Marque le tempo à la vitesse que vous souhaitez.
Intro :
Le curé du village m a fait un drôle d aveu...
Y a pus de flamme dans ses yeux.
Les fidèles sont rendus trop vieux.
Le curé sait pus trop si il croit en Dieu.
La belle du village ne croit plus en l amour.
Tous ses prétendants voulaient qu elle se déshabille.
Son coeur volage est rendu trop lourd.
La belle veut mourir vieille fille...
Le curé doute l église se vide.
La belle commence à faire des rides.
Le curé doute l église se vide.
La belle commence à faire des rides.
Le fou du village a pus le goût de rêver
Il hurle à la lune à toutes les nuits
On va être obligé de l interner
Le fou n a plus sa place ici
Le maire du village a perdu sa fierté
Il a vendu nos lacs il a vendu nos champs
à des investisseurs étrangers
Le maire est rendu à l argent...
Le curé doute personne à la messe.
La belle veut pus jouer aux fesses.
Le fou qui hurle sa détresse.
Le maire est prêt à toutes les bassesses.
Attention la tempête gronde. On achève d écrire le premier tome.
Ouvrez vos yeux tout le monde : on est en train de bâtir
une ville fantôme... Une ville fantôme.
Une ville fantôôôôôôôôôôme
Le doyen du village ne peut plus raconter.
On l a mis en prison dans un foyer.
Une muselière sur notre passé.
Le patriarche se laisse doucement crever.
La maîtresse du village endure pus les enfants.
Ils sont dissipés pis ils comprennent rien.
Pis vu que les enfants sont pus comme avant
la maîtresse prescrit du ritalin.
Une ville fantôôôôôôôôôme
Le curé doute personne à la messe.
La belle veut pus jouer aux fesses.
Le fou qui hurle sa détresse.
Le maire est prêt à toutes les bassesses.
Le patriarche qu on oublie.
La maîtresse engourdit les petits.
La tempête gronde faites attention.
On nous promet des jobs et pis des bonbons
mais le problème est beaucoup plus profond :
LA DÉFAITE EST DEVENUE TRADITION !