Accords et paroles Je suis de celles Bénabar

Je suis de celles

Bénabar

-1
+1
Suggestion: +5

(supprime les barrés)

Tous les outils
annuler
Change la taille du texte.
NON
OUI
Remplace par des accords plus faciles à jouer.
EN
FR
Affiche les acccords français (Do, Ré, Mi…).
NON
OUI
Seul le bas du texte défile, vous laissant ainsi les accords de départ visibles.
NON
OUI
Certaines partitions n’affichent les accords qu’au début. Cet outil tente de les recopier dans l’ensemble du texte.
Marque le tempo à la vitesse que vous souhaitez.
  Intro :
 La
 Tiens qu'est ce que tu fais là c'est moi c'est Nathalie
 Quoi tu me reconnais pas mais si
 On était ensemble au lycée c'est vrai j'ai changée
 J'ai des enfants un mari
 Bah quoi t'as l'air surpris
 J'étais pas destinée à une vie bien rangée
 J'étais perdue mon mari m'a trouvée
 j'étais de celles qui disent jamais non
 Les Marie couche toi là dont on oublie le nom
 J'étais pas la jolie moi j'étais sa copine
 Celle qu'on voit à peine qu'on appelle machine
 J'avais deux ans de plus peut-être deux ans de trop
 Et j'aimais les garçons peut-être un peu trop
 Bien sûr vous aviez eu des dizaines de conquêtes
 Que personne n'avait vues toujours pendant les fêtes
 Pour beaucoup d'entre vous je suis la première fois
 De celle qui compte mais pas tant que ça.
 Je n'étais pas de celles à qui l'on fait la cour
 Moi j'étais de celles qui sont déjà d'accord
 vous veniez chez moi mais dès le lendemain
 Vous refusiez en public de me tenir la main.
 Et quand vous m'embrassiez à l'abris des regards
 Je savais pourquoi pour pas qu'on puisse nous voir
 Alors je fermais les yeux à m'en fendre les paupières
 Pendant que pour guetter vous les gardiez ouvert.
 Je me répettais faut pas qu'je m'attache
 Vous vous pensiez il faut pas que ça se sache
 Mais une fois dans mes bras vos murmures éssouflés
 C'est à moi rien qu'a moi qu'ils étaient destinés.
 Enlacés contre vous à respirer vos cheveux
 Je le sais je l'affirme vous m'aimiez un peu
 Certaines tombent amoureuses c'est pur ça les éleve
 Moi j'tombais amoureuse comme on tombe d'une chaise.
 Et gonflés de l'avoir fait vous donniez conférence
 une souris qu'on dissèque mon corps pour la science
 je nourissais vos blagues de caserne
 Que vous pensiez viriles petits hommes des cavernes.
 D'avoir pour moi un seul mot de tendresse
 Vous apparaissait comme la pire des faiblesses
 Vous les fiers à bras vous parliez en expert
 Oubliant que dans mes bras vous faisiez moins les fiers
 Et les autres perfides petites sottes
 M'auraient tondu les cheveux à une autre époque
 celles qui ont l'habitude qu'on les cajole
 ignorent la solitude que rien ne console.
 vous veniez chez moi mais dès le lendemain
 Vous refusiez en public de me tenir la main.

Je suis de celles

Bénabar

D'autres partitions à jouer…